( BLB , Baise La Bouffe )
"Présenté à Cannes en 1973, le film fit scandale, notamment chez les journalistes qui ne supportaient pas qu'un iconoclaste italien représente ainsi le pays du bon goût français ! Aujourd'hui, même si la polémique s'est éteinte, ce brûlot politiquement insultant garde toute sa force."
( ZURBAN)
(pour une France libérée , ENFIN ! )
( Garde , avoue ! )
Prendre Andrea Ferréol , l'étaler sur votre pâte fraiche
la bonne patte , puis Olé , un Coltrane par là !
réalisé par Marco Ferreri
avec M.Mastroianni,M.Piccoli,P.Noiret,U.Tognazzi,A.Ferréol,Florence Giorgetti etc
La Grande Bouffe: Revu de presse de l'époque
envoyé par pitchbrioche. - Regardez des web séries et des films.
Allo , allo Ciné :
Anecdotes, potins, actus, voire secrets inavouables autour de "La Grande bouffe" et de son tournage !
Comédie tragique et crue, critique féroce de la société du bien-être et de la consommation, La Grande bouffe a été un succès retentissant auprès du public, bien que mal accueilli à Cannes. Ecrit avec son fidèle collaborateur Rafael Azcona (La Dernière Femme, Rêve de singe, Y'a bon les Blancs, etc...), le film est une bouffonnerie salace au ton provocateur et satirique.
Marco Ferreri restera l'un des auteurs italiens les plus caustiques. Signant des films moqueurs et corrosifs tels que Le Mari de la femme a barbe, La Grande bouffe, Contes de la folie ordinaire, Journal d'un vice, il s'entêtera à critiquer une société privée d'authentiques valeurs.
Siflé au Festival de Cannes 1973 où il concourait pour la Palme d'Or, La Grande bouffe y a tout de même récolté le prix Fipresci (Fédération Internationale des critiques de films).
Marco Ferreri dresse le portrait de quatre amis, représentatifs de la bourgeoisie, qui s'enferment dans une villa à la périphérie de Paris afin de "mourir en mangeant". L'occasion de réunir un quatuor de choc : Marcello Mastroianni, homme de succès, le chef cuisinier raffiné Ugo Tognazzi, Michel Piccoli et Philippe Noiret.
Marco Ferreri a souvent été comparé au cinéaste mexicain Luis Buñuel pour son goût à explorer les vices et le peu de vertu de la bourgeoisie de l'époque en y insufflant une grande part d'ironie également.
Après La Grande bouffe, le duo se reformera en 1977 pour Rêve de singe et en 1983 pour L'Histoire de Piera.
Le film a été tourné dans une villa rue Boileau dans le 16ème arrondissement de Paris.
épi'blog :
La Vierge de M.Sauzeau , héros de Ici NAJAC , à vous la terre
puis " la vie comme elle va ! "
de JH Meunier
_ On ne peut passer à côté d’Henri Sauzeau, ce septuagénaire qui passe du rire aux larmes et qui en quelques scènes nous rappelle notre grand-père têtu comme une mule malgré ses quatre-vingt-quinze ans. Bref, Najac... n'est sans doute pas le film attendu mais sait nous émouvoir tout en parlant de la plus belle chose au monde: la vie !_
(foutraque.com)
( M.Sauzeau fut même Hors compétition officielle
à Cancannes , j' y reviendrai )
une époque où l'on osait encore ( Ozu allait bien alors aussi ) , même au ciné !
RépondreEffacerquel beau film !
cactus : je n'ai qu'un mot à dire : bravo !!!
RépondreEffacervous avez trouvé votre rythme de croisière, toutes voiles dehors, avec votre cheval de bataille, c'est là votre point fort, question décoration, c'est tout de même mieux que les cuisines IKEA.
Dexter , je ne sais si c'est un compliment ou un accompli , mens ; je ne sais comment il me faut le prendre , comment il me faut vous méprendre !
RépondreEffacerj'attends, inquiet , la sentence de Màc !
Ikea c'est pas très costo c'est vrai , pourtant c'est pas chinois !
mon cheval est plutôt sang froid que sang chaud , pensa mon moi là !
mais , bon , allons-y donc , droit comme un hi !
oui, ça démarre fort Cactus ! super le choix des films et photos ! votre pub d'enfer est parfaitement justifiée !!
RépondreEffacermerci CLAIRE !
RépondreEffacerj'adore cet ENFER là !
( et je ne vous roule pas dans ma farine :-)
Enfer et pour tous !
RépondreEffaceret contre tous !
RépondreEffacerAh, qu'est-ce que j'ai rigolé à la Grande Bouffe : film plus noir que çui-là, y en a pas beaucoup.
RépondreEffacer"Les galettes de Pont-Aven" était aussi jouissif dans l' rire... Avec Ferréol et ses formes amoumougnantes !!! Et les dialogues de Francis Blanche.
Et pis Clouzot, ben ouais, Clouzot.
Godard, y a que ce film-là qui m'intéresse chez lui. Tout l' reste de la bouillie pour les chats. Bande-son merveilleuse, villa Malaparte, la mer, Fritz Lang...
Je dois dire qu'en sortant, on n'avait pas faim.On avait bouffé pour deux jours et vomi et ri et pleuré.
RépondreEffacerTiens mon Cactus pisque t'es lyonnais un lien qui peut t'intéresser
RépondreEffacerhttp://utoplib.blogspot.com/2009/11/lecran-noir-lyon.html
merci pour le lien anar ! j'en suis !chut !
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